Acomoclitisme : (n. m.)
On appelle « acomoclitisme » le goût pour les pubis épilés. C’est un goût courant en terre d’Islam où les femmes doivent s’épiler le corps avec des pâtes parfumées au miel qui laissent la peau sucrée. En Chine ancienne et dans la Grèce antique, les femmes aussi s’échangeaient leurs recettes : pommades, onguents, lames effilées…
Il faut également préciser que de plus en plus de femmes européennes de tout milieu pratiquent l’épilation totale ou partielle du pubis et des grandes lèvres dans un souci de facilité des rapports sexuels.
Certaines cultures considèrent l’acomoclitisme comme une pratique évidente ; le pubis féminin non rasé y est synonyme de rejet, de dégoût, et de manque de respect pour le partenaire.
Il y a aussi l’acomoclitisme collectif, lorsqu’un mec rase tout doucement les grandes lèvres de sa copine et vice-versa. C’est bien plus émouvant ! Le hic, c’est que l’acomoclitisme est plus ou moins apprécié au Québec, où je vis en ce moment. C’est assez dommage lorsqu’on a ce fétichisme, il faut le dire !