Il existe de nombreuses méthodes AGILE parmi lesquelles se trouve Scrum, conçues pour un usage au sein d’une petite équipe et cherchant à maximiser sa productivité. Elle est basée sur un mode de pilotage itératif, prenant en compte les évolutions qu’un projet de développement peut subir en cours de route.
Scrum se base sur 3 piliers que sont la transparence, l’inspection, et l’adaptation. Scrum, et les autres méthodes AGILE en général, ne sont en aucun cas des méthodes dépourvues de règles comme certaines personnes ont tendance à l’imaginer.
Le cadre Scrum consiste en une équipe avec des rôles bien définis, des blocs de temps (timeboxes) et des artefacts.
De plus, un langage commun doit permettre à tout observateur d’obtenir rapidement une bonne compréhension du projet.
Des points à intervalle régulier sont fait sur les différents artéfacts produits, afin de détecter toute variation indésirable, et si toutefois une dérive est constatée pendant cette inspection, le processus doit alors être en capacité à s’adapter.
Scrum et donc un processus empirique, qui se base sur l’expérience du terrain, la réalité de la plupart des projets pour lesquels il n’est pas possible de tout définir dès le début. Ainsi, pour s’adapter à ces changements inévitables, Scrum ne suit pas un processus prédictif, mais travaille par itérations, appelées Sprints, pendant lesquelles sont quotidiennement organisées des revues appelés… Scrums, et à la fin desquelles les travaux sont ré-ajustés.
Scrum tire son nom du terme anglais mêlée pour son analogie avec les réunions quotidiennes. En rugby, c’est une reprise du jeu, après une faute, qui offre l’occasion à une équipe de se remettre sur de bons rails, par le biais d’un effort collectif.
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